A l’écoute de ses multiples rimes
J’oublie ma pauvre prose assassine
De la beauté qu’elle seule décline
Elle ouvre les portes de mon âme, Aislin.
Une fois ne sera jamais coutume
Exception ! Je range mes runes
Sans le moindre fard ni costume
Lorsqu’ Aislin me décroche la lune.
De son univers si particulier
La puissance de me faire rêver
Le choix des mots ne peut que toucher
L’ombre se perd, la lumière est à ses pieds.
Pour elle qui en rien ne doit paraître
Pour que je conçoive la beauté de l’être
Jamais personne ne sera son maître
Grace à elle disparaît le mal-être.
Pour toi Aislin, Reine des poétesses
Toi qui pour moi est une déesse.
A toi je décline mes faiblesses
Je te nomme de mes songes, la prêtresse.